3 sur 3 préambule
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Vendredi midi : premier contact avec la région.
Bien restaurés, après la prise en compte du dodo, visite au village et au salon. Aucune comparaison avec le Roc d'Azur, c'est familial, réduit et fort sympathique. Retrait des dossards. Ca y est, on est dans le bain.
Soirée ambiance locale. les lyonnais arrivent au compte gouttes, normal, ils sont à 1h30 de route et ce n'est qu'à 22H que nous prenons place devant la spécialité locale : la reblochonnade
C'est le coeur léger mais le ventre lourd que nous rejoignons notre gîte pour une nuit salutaire après ce long voyage et ce petit repas frugal, voir diéthétique (roquette et cornichons). Fin de la première journée. Pour l'instant, tout va bien, mais on aurait dû se méfier du plan machiavélique des deux compères du bâtiment (pas de nom chez nous, ce n'est pas le genre).
Je vous résume en quelques mots :
L'année dernière, queue interminable au télésiège du crêt du merle pour accéder au départ fixé à 11H. Si on monte en voiture à l'arrivée de ce télésiège, on gagne facilement une heure.
Là, tout parait cohérent.
Samedi 14 juin 9H. En avance, tout le monde est prêt. Deux voitures iront au crêt du merle et une à l'arrivée. 9H30, nous sommes tous au crêt du merle et après avoir montés nos vélos et vérifié nos équipements, on s'offre le temps d'aller boire un café au restaurant d'altitude près de la ligne de départ. 10H00 derniers réglages sur les vélos, quelques coups de pompe, un réglage de frein, une attache par ci, etc. Un officiel vient discuter avec nous, sympa. Au bout de quelques minutes, il nous demande quelle course nous faisons car il n'a pas notre série de dossards. Fièrement nous répondons " la ROC All Mountain" et là, et là, et là .......... je cite :
" Avec les problèmes de l'an dernier au télésiège, cette année, ils ont changé le départ, le départ est à l'arivée du télécabine de Beauregard"
En clair : complètement à l'opposé ....... et l'opposé en montagne .........
Pas le temps de remettre les vélos dans les voitures, faut rejoindre la gare de départ du télécabine sur nos montures, c'est la seule chance, Pour les voitures, on verra plus tard. Heureusement, ce n'est que de la descente sur goudron (mauvais, mais goudron).
10H55 : on est au pied de la vrai ligne de départ. La montée en télécabine nous a permis d'insulter copieusement les deux inventeurs du plan foireux (toujours pas de nom).
MERCI QUI ? (c'est la question du séjour, les présents comprendront)
Très prochainement sur ce site :
3 sur 3 LA RANDO
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